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Quiconque fait un bien fût-ce du poids d’un atome, le verra, et quiconque fait un mal fût-ce du poids d’un atome, le verra.
Pour la plupart des gens, tous les efforts humains se rangent en trois catégories : ce qui est d'ordre général et apparaît compréhensible; ce qui, comme les sciences, est mystérieux, mais, par habitude, acceptable ; ce qui est mystérieux, mais n'étant pas courant, est condamné.
Le cas de Joséfou Kabila rentre, dans un cas général qui en définitive, paraît compréhensible. Il cultive le silence (sic), mystérieux souvent complice assourdissant qui le condamne d’emblée aux yeux des souverains primaires. Son silence sur le cas dramatique des expulsés de Brazzaville, montre à escient, ses limites sur la gestion de ce grand pays qui devient la risée de tous. La RDC aux pieds d'argile, par définition devient un orphelinat à ciel ouvert où le peuple n'a plus droit de cité.
Sans la moindre réaction de ceux qui se considèrent comme les garants des institutions en RDC sur le drame qui frappe les Rdcongolais, les femmes de la république, prennent le flambeau et montent au créneau.
L’organisation internationale «Initiative des femmes dans la région des Grands Lacs» dénonce les maltraitances et les autres formes de violences subies par les femmes pendant les expulsions des ressortissants de la RDC du Congo Brazzaville.
Ces femmes ont exprimé leur mécontentement mercredi 21 mai à Goma à l’Envoyée spéciale du Secrétaire général de l’Onu dans les Grands Lacs, Mary Robinson.
L’association féminine réclame la mise en place d’une commission d’enquête urgente pour faire la lumière sur les violences subies par les femmes expulsées du Congo Brazzaville.
Chantal Malamba, porte-parole de cette organisation, indique que de nombreux cas de violences ont été enregistrés lors de ces expulsions. Elle souhaite que ces actes ne restent pas impunis.
«Parce que nous sommes dans la région des Grands Lacs, parce que nous sommes la RDC [et que nous] connaissons la souffrance de ces violences, nous ne voulons qu’il y en a une seule qui arrive dans la région sans qu’on ne puisse la dénoncer, sans qu’on ne puisse punir les coupables», explique-t-elle.
Entre-temps le petit président impopulaire de la RDC, Joséfou KABILA, président de non état, de la « Kabilie », reçu sans tambour ni trompette à l'Elysée, afin de finaliser son départ en décembre 2016. Au regard des ballets diplomatiques inhérents à cette visite fortement politisée.. La France, joue son rôle d'arbitre avec brio avec son expertise dans la région sous le regard bien attentif de l'oncle Sam.
A l'issue de cette rencontre et à la demande insistant de Joséfou KABILA, rien n'a filtré et surtout de faire un communiqué de convenance diplomatique. Mais comme on dit ; les murs ont des oreilles, mais des grandes !
Les bruits de couloirs se répandent d'un vitesse phénoménale, ils atterrissement à Kinshasa et répondissent dans la capitale française et nous parviennent sous forme de scoop. Sans les opérateurs téléphoniques, la rédaction de l'Afrique Rédaction serait vraiment isolée.
Un après midi à l'Elysée riche d'émotion, d'angoisse et de tristesse pour le président sortant qui repart à Kinshasa sans tout obtenir, mais d'après ses proches, il voudrait qu'à même tenter le dernier baroude d'honneur ou un coup de Poker menteur ! Kabila quitte l'Elysée et la France, l'orage et la pluie s'estompent, le ciel parisien s’éclaircisse...Le diable s'en va, me dit-on !
Le communiqué publié à l’issue de la « séance de travail » ayant réuni les parties congolaise et française au Palais de l’Elysée indique que le président français a profité de l’occasion ainsi offerte pour rappeler à son homologue congolais l’attachement de son pays à la protection de libertés politiques, à la défense de droits de l’homme à la stabilité des institutions et à la lutte contre les violences sexuelles en RDC ! « un communiqué politiquement correct avec un caractère purement diplomatique qui en dit long... »
La peur au vendre de ses mésaventures survenues lors de son décollage pour son ultime voyage en France. Les dieux du ciel n'étaient pas là, le 18 mai 2014 au environ de 21 heures avec celui qui se croit être le roi ( Raïs) de la RDC. Il a failli terminer sa course dans le fleuve Congo qui regorge de crocodiles habitués à manger la chair humaine jetée par ses sbires...
Joséfou KABILA a échappé belle avec son Boeing privé présidentiel qui a un luxe scandaleux à couper le souffle. Son Boeing B 707, un avion de ligne quadriréacteur long-courrier de taille moyenne à fuselage étroit construit par Boeing Commercial Airplanes entre 1958 et 1979.
Son nom est habituellement prononcé « Seven Ow Seven» en anglais et « Sept Cent Sept » en français. Selon les versions, l'avion a une capacité de 140 à 189 passagers et une autonomie comprise entre 4 630 et 10 650 km …
Mais celui-ci est aménagé d'une manière outrancière avec l'argent de contribuables congolais paupérisés par la confiscation des richesses de leur sous-sol par une clique mafieuse qui veut s'éterniser au pouvoir. Un Boeing « palace volant » avec chambre à coucher pour le président, un bar-restaurant et mini salon orné du cuir tendre première qualité et ronce de noyé qu'on trouverait dans des berline de luxe..
Panique à bord, au soir du dimanche 18 mai 2014, lorsque cet oiseau mécanique de malheur a pris son envole pour Pretoria (Afrique du Sud) avec celui qui incarne la souffrance du peuple congolais, pour aller boutiquer ses affaires chez son homologue, incorrigible, le Président Zuma un patenté criminel économique. Et accessoirement recevoir les conseils de ses conseillers et recommandations militaires sur le cas spécifique de la Centrafrique
Le commandant de bord expérimenté, s’aperçoit que le transpondeur de ce Boeing émet des signaux d'anomalies correspondant à l'avarie de l'un des quatre moteurs de ce mastodonte navette.Une dense fumée noirâtre s’échapperait du réacteur qui se situe à droite de l'appareil.
À 7000 milles mètres d'altitudes, cet appareil devient un cercueil volant comme on a souvent le cas dans ce pays qui est classé parmi le pays les plus dangereux en transport aérien avec des vieilleries des avions Antonovs à hélices de fabrication Russe...
L'heure de la prière était venue dans ce cercueil volant incontrôlé, il faillait rebrousser chemin, faire demi tour pour revenir vers le point de départ...D'après ceux qui étaient dans l'avion, disaient que Kabila avait beaucoup prié ce soir là...Qui, je n'en sais rien ! A chacun son Dieu...
A l’aéroport de Ndjili, les bruits courent comme une traînée de poudre que l'avion du président va se cracher. Le seul et unique dispositif de secours se dépêche sur la piste pour porter secours à l'infortuné avec son cercueil volant de plus de 80 millions de dollars.
Pour couvrir l'imminence du crash de l'avion présidentiel,le conseiller de la Kabilie, un certain Pierre Lumbi donne des instructions par la radio de l'avion, avec le SOS (Mayday- Mayday) habituel et exige la coupe de courant, en paralysant tout le circuit d'alimentation en électricité de l'aéroport, en gardant seulement, l'alimentation au pavillon où le président passe pour ses multiples voyages. Un pavillon payé à coup de 45 millions de dollars.
Une escroquerie et malversation terrible, ce bâtis qui a la grandeur d'une villa de Ma Camapgne...Il avertit encore le chef d'état major, pour assurer les arrières de leurs copains de la kabilie tutsisane.
Comme le malheur n'arrive jamais seul, dans cette panique générale, les aiguilleurs du ciel (ombrageux) oubliaient qu'il y avait, au même moment un autre avion de ligne de la compagnie Air France en provenance de Paris qui lui aussi amorçait sa procédure d’atterrissage à 500 mètres du sol.
Surpris par la coupure brusque d’électricité, le commandant de bord d’Air France décide remonter brusquement. ( ndlr ) voir également l'article qui est incomplet du Potentiel
La catastrophe a été évitée de justesse, encore une fois, en sauvant la tête de celui que tous les congolais veulent son départ, d'une manière ou d'une autre...Pourvu qu'il en aille !
C’est finalement après mures réflexions et en voulant également annuler cette visite, le mardi 20 mai 2014 dans la journée encore sous le choc, que l'incapacitaire de Kingakati, Joséfou Kabila arrivera en France via l’aéroport d'Orly au lieu de celui, militaire de Villacoublay non pour tromper les combattants mais au regard de l'incident précité.
La France proteste d'une manière vigoureuse de cet incident qui allait causer la mort de ses ressortissants, et dit d'un ton clair, qu'il faut en finir avec cette histoire de l'irresponsabilité de ces gouvernants qui mettent la vie de tout le monde en danger.
Joséfou KABILA, dira que son joujou avait subi un protocole d'entretien rigoureux avec des ingénieurs chevronnés, dont un français et quelques mécaniciens de haut niveau SudAf ( Sud-Africain).
Comment cet avion peut-il subir cette avarie de moteur ?
Ce dernier, accusera indirectement dans sa paranoïa, la France d'avoir saboté son avion pour se crasher... Pour cause, il exigera pour son prochain voyage qui était prévu, le 20 mai 2014 de mettre dans son avion, son colis de protection, l'ambassadeur de la France en RDC, Son excellence, Monsieur l'Ambassadeur Luc Hallade...Une garantie anti-crash pour Joseph KABILA.
Le pensionnaire de Kingakati vivrait d'après ses proches, dans une grande paranoïa inouïe à l'image de qui se trame derrière son dos !...Il n'en démord pas, et dit à qui veut l'entendre, que la France a intenté à sa vie...
La suite se passe de commentaire, aucun officiel pour l’accueillir à la descente de son avion loué à Air France à coup de millions, que le malheureux et infortuné Ambassadeur, que ce méchant garçon a pris en otage, qui l'accompagnait malgré lui... Tout cela n'a pas plu aux autorités françaises.
A l'Elysée on grince les dents, une visité expéditive sans tapis rouge qui caractérise la grande amitié pour l'invité n'est pas mis, simplement des petits galets qui souvent se faufilent dans vos chaussures qui vous poussent d'aller aux « chiottes » pour enlever ces invités indésirables dans vos chaussures.
Aucun point de presse qui montre l'intérêt du partenariat entre les deux présidents et deux pays. On évite absolument de s'afficher longtemps avec celui qui dans pas longtemps portera l'étoffe de Jean Valjean.
Pas de presse internationale, encore moins d'échos dans la presse nationale. Cette visite n'a été connue que par une poignée de français qui savent manipuler l'information, des initiés qui au demeurant sont rodés pour...Pas de visite au temple de la diplomatie au Quai d'Orsay là où les décisions se prennent. Ceux qui savent lire dans la marc diplomatique, ont déjà leur lecture sur cette visite.
24 heures en France, pourchassé par les résistants, combattants de partout, afin de faire sa fête. Il a eu son salut que par la protection policière qui était mobilisée, avec un effectif éléphantesque de plus de 300 policiers en civil, 14 compagnie de CRS quadrillant les lieux stratégiques de la capitale française, l'ambassade de la RDC et surtout l'hôtel Bristol non loin de l’Élysée pour n'est pas trop, prendre des risques fâcheuses avec les combattants. Afin d'éviter un éventuel incident grave diplomatique au regard de l'incident avec l'Ambassadeur de la France en RDC...
Avant de passer dans le parage, il faut montrer patte blanche. L'endroit est devenu, une vraie citadelle, une forteresse de collabos et des thuriféraires de tous poils, donnant des interviews d'une qualité médiocre à leurs maîtres..
En conclusion et en conséquence de cause, les combattants ont eu raison sur ce président impopulaire depuis la première république de la RDC...Un point essentiel dans l'escarcelle de ces vaillants patriotes qui se battent pour leur Nation en péril...
Le pauvre Kabila, ce président mal aimé a été contraint la mort dans l'âme d'acception cette éventualité de quitter le pouvoir après ses deux frauduleux mandats tout respectant l'article 220 de la constitution, au pire il quitterait le pouvoir vers 2018, ce qui s'est dit, d'après les experts. Favorisant, la période de la transition avant les prochaines élections qui sont techniquement impossibles pour 2016.
Il a surtout demandé des garanties sur son départ et exige sa protection par la Monusco en RDC après son mandat de président. Il ne souhaite pas s'exiler ailleurs, mais demande à la France qu'il soit protégé avec une forte immunité en RDC...
D'après les informations qui circulent autours de lui, il souhaiterait que le criminel Azarias Ruberwa, son conseiller occulte, soit le prochain premier ministre du nouveau gouvernement de la cohésion nationale à l'instar de la poudre aux yeux qu'il balance dans les yeux des congolais sur des noms qui ne pèsent pas dans ses choix à savoir : (Minaku, Kengo et Matata). On l'a conseillé d'oublier cette option qui embrasera encore la RDC et la diaspora.
Il est expressément conseillé de n'est pas aller vers l’embrasement de la capitale avec tous ce qui se trament et de ces infiltrés qui sont déjà en fraction à Kinshasa pour semer la terreur, afin de mettre leur pion au pouvoir...Sa place serait à la CPI.
Accessoirement, le cas de la Centrafrique a été évoqué, et quelques contrats ont été signés...A la lumière ce qui se passe, la carte du changement est sur la table avec des institutions fortes pour pérenniser les intérêts de tout le monde. Bipolarité exige ! Il quitte la France très amer et promet à ses proches de se venger. Mais contre qui ?
Roger BONGOS
Forum économique franco-brésilien (Paris, 20...
http://rd-congo-infos.blogspot.com/2014/05/quand-la-terre-tremblera-dun-violent.html
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